où que tu sois où que tu vas, dans ton caddy, dans ton bardat, dans ton gourbi, dans ton cabat...bon debarras. stocke moi ! à moins que zero au congélo, en porte à faux sur porte vélo, en container ou en pot, garni de mousse ou de copeaux, au fond d'une niche ou d'un terrier, au fond de ta poche pour le gouter, au fond de la calle ou du grenier, dans un bocal...stérilisé, posé bancal ou arrimé, en tas de vrac ou en sachets, sous vide ou sous ta peau, dans tes plis et tes recoins, dans ton gras ou ton miella, en mémoire flash ou disque dur, dans du substrat ou de l'alu, du film ultra ou du tissus, de la resine ou de la glue, en tonneau ou sur un fût, dans tes tiroirs ou tes placards, en salaison sur ton balcon, renversé ou répandu, posé ou suspendu, dans ta benne ou ton bac vais je pouvoir me hisser? entre les bulles du sac vais je pouvoir me glisser? dans l'entrepot de tes baisers me laisseras tu reposer?

A C. Ad Vitam Eternam




Paul est décédé aujourd'hui.
Il est parti sans soufrir et
sereinement ds la chaleur
des bras de sa maman.
Merci pour vos pensées.

les anges volent en formation avant de se tirer la bourre...chat le chat

un peu de plomb?

le temps file à grosses giclées, à peine surgit de suite absorbé, et l'oscilloscope général hésite entre latence et précipitation, l'envie de blog, elle, s'enfuit au rytme de l'inspiration (et de son inspératrice). peut être, en ce moment, trop de questions en suspend ou trop de réponses en déclenchement. cela depend du bout de la lorgnette. et tout à un bout. sauf la saucisse qui en a deux.

recycling

dire qu'il aura fallu ça pour faire sortir le chien de son con.
quand de ses oreilles, qu'il porte alertes, d'étranges rumeurs lui sont parvenus, il n'y a d'abord pas porté goutte. c'est ensuite que toute l'horreur s'est dévoilée. l'objet du dégout est la mise en scène orchestrée dans un célébre parc d'attraction importé d'outre atlantique par, sinon le meilleur, mais le premier d'entre nous (oui nous). un what a fucking coming out, comme le dise les actionnaires de ladite multinationale du divertissement. tout en écartant l'aspect queutard de la situation et dans le soucis de ne pas jetter la pierre pierre, ni détailler à la loupe electrique le pédigree de la petite, il n'en reste pas moins, lorsque l'on est le premier d'entre nous, qu'il y d'autre what a fucking endroit pour se pavaner avec sa last caniche but toilettée. a l'heure ou la culture bat de l'aile (un peu de plomb?) voire étouffe dans son vomi (vas y jimmy le genie!) n'y aurait il pas eu mieux fallu, comme alternative de représentation, arpenter gaillardemment les allées d'un illustre musée, d'une exposition high quality, ou s'afficher à la premiere d'un spectacle choisi....et quite à communiquer, par la même occasion, sur la vie de son slip, se la jouer rainier&grace kelly, ou, pourquoi pas edith&marcel. mais non. the wrong man at the wrong place. le message est limpide. "je vous emmerde, venez le dimanche après midi dépenser le peu de tune qu'il vous reste au profit de fonds de pensions américains, oubliez tout car vous verrez vous allez vous marrer, en plus, s'il ne vous reste plus que ça avec un peu de chance j'y suis...eh la preuve, j'en profite pour vous montrer ma dernière greluche, bonasse non? on se demande ce qu'elle fout là mais pas grave si c'est pas elle il y en aura d'autres, et surtout surtout mercredi prochain achetez à donf toutes les publications de merde avec mes tofs dedans, tous ces torchons c'est a mon meilleur pote, à 15 jours de la cloture cela boost un bilan comptable. bon bah j'y vais on m'a reservé space mountain...des questions?.....hein? les tentes du don je sais plus qui et celle de mon ami kafhafi? rien à battre c'est de l'histoire ancienne...rendez vous mercredi prochain dans votre kiosque à journaux.. ciao-ciao..."(fouf people près de ici)

pour mémoire un petit retour dans les coulisses

http://ronroncanigou.blogspot.com/2006/10/le-chien-dingo-est-un-chaud-lapin-et.html

et pour démontrer, s'il le fallait, qu'il arrive au chien d'être à la hype, ce basset flagorneur s'est autosatisfait fortuitement quelques jours auparavant, lorsque, alangui de torpeur matinale, au pied de la tsf, il a auditionné une chronique dont le heros était notre (oui notre) illustre nabot,et qu' il y était fait état des nombreux points de similitudes concordants avec un non moins fameux autre hystérique nabot. c'est là que le chien s'est fendu d'un bref soupir de contentement. suivi d'un grand frisson.

http://ronroncanigou.blogspot.com/2007/05/cette-fois-y-est.html