mercredi 29 novembre 2006

le chat
"trick sweet trick!"
le chien ne jappe plus que ça...avec moulte bave et force remuage de queue...il est même pas anglais en plus ce chiot d'idiot...
depuis que sa niche à bénéficié d'un sérieux upgrade à base de calorifuction constante subjectivée vers 22 degrés...hmmm à s'en faire péter une mue d'été en plein mois de janvier, et d'une "ventilation mecanique centralisée" , de haute ingénierie, pour faire circuler les ambiances et les odeurs de vieilles croquettes, l'hiver s'annonce moelleux et caverneux ...comme un schmakos.


lundi 27 novembre 2006

samedi 25 novembre 2006

le chien
si Buddha enseigne, après 6 ou 7 ans sans bouger sous 1 figuier, qu'il faut respecter tous les êtres vivants...qu'en est il du respect des langues vivantes?
par exemple, l'expression "je me shoote au boulot" et son ineptique point de non retour, ne mérite elle pas le frottement d'un billot en figuier doublé d'un bon coup de hache?

sur l'utilité des drogues en environnement professionnel

le "work shooting" ou "passer volontairement un maximum de temps sur son lieu de travail jusqu'a y éprouver des vertiges, des troubles visuels et auditifs, voir des hallucinations (mais petites car toujours productives)" reste l'apanage d'une catégorie de cinglés, plus communément appelée élite. problème n°1 : tenir le coup pendant 14 ou 15 heures (minimum) avant que ne surviennent les premiers effets...et...c'est long.

au début des années 80, des gus en blouses blanches, jamais à court d'idées courtes, se sont mis en quête de synthétiser la drogue du travail, celle qui donne l'impression pendant une douzaine d'heures de n'avoir rien commencé quand rien n'est terminé, le tout avec le sourire...pour l'expérimentation ils congédièrent les habituels cobayes, et mobilisèrent...une troupée d'araignées . le choix fût judicieux. d'abord les vrais rongeurs profitèrent de quelques jours de vacances à tourner dans leurs roues , sans s'arréter, grace à des electrodes fraichements implantées... ensuite qui de plus laborieuse et besogneuse, qu'une pitite araignée...avec sa toile, toujours à refaire chaque matin, ou après chaque grain?


à y regarder de plus près, ce boulot de tisserand, l'araignée l'accompli sur plan tout en s'adaptant à son environnement contre rémunération pour sa survie. une vraie parabole de l'entreprise et du salariat. dans la nature, et à l'instar des salles obscures, la toile, savamment élaborée, sert à engluer des mouches repues de merde (les MAM), afin de les immobiliser, alerter le prédateur-producteur en transmettant les vibrations de l'impact, lui permettre d'accourir sur ses 8 pattes et de ses 2 mandibules aigues transpercer la MAM avant d' injecter un flux acide de sucs pré-digestifs, de laisser macérer en vue de suçoter la compote obtenue à l'heure du diner. par bonheur nos amis scientifiques élevent aussi des mouches à merde...

les gus décidérent, en guise d'approche, de faire des essais psychoactifs avec ce qu'ils avaient sous la main c'est à dire dans leurs poches. certains prétextèrent qu'ils avaient fini leur dernier rail après la cantine mais qu'ils connaissaient de bons fournisseurs, d'autres firent le sacrifice de puiser dans leurs réserves personnelles planquées dans les recoins du labo. il faut noter qu'ici plus qu'ailleurs, en matière de causes à effets, la morale est élastique...un peu quand chacun voit midi d'hier sur le pas de sa porte d'aujourd'hui en attendant le champignon atomique de demain.

il restait à transformer les paisibles arachnides en junkies de première bourre. evidemment l'utilisation d'une seringue de 12 s'étant révélée fatale, les scientifiques préférèrent confiner les donzelles dans des cuves enrichies par les substances réquisitionnées (gaspillées?) sous formes gazeuses (salut à toi F. Herbert) pour après lacher les fidèles mais perrissables MAM.

en voici quelques résultats :

lsd

très joli, mais un peu fragile car trop tendue...à reserver aux apetits modérés

mescaline

incomplet, reduit, mais...efficient (les taches blanches avec des ailes le prouvent)

hasch

pas finie, la freakspider s'est sans doute endormie avant la fin...mais ça marche encore.

cafeïne
sans commentaire

conclusion : au taf, mieux vaut se sucrer chargé que charger sur le café sucré...

cockers en deuil

lundi 20 novembre 2006


le chien
cogite sur l'alpha et l'omega des questions du jour :
-les petites musiques rigolotes durant les matchs de basket ont elles un sens?
-combien de temps survi un blog après le décès de son auteur?
-sommes nous en concurrence directe avec des canidés d'Indes?
-quelqu'un a t'il vu la touffe à Britney?
-y'a pas des abrutis (quand même) qui mettent en danger la vie des chiens d'avalanches en allant faire la grimpette?
-lui dirais je les mots bleus?

Re-pose In Bibine

"Mon fils,
ne va ja
mais fai
re confia
nce à qu
elqu ’un
qui ne boi
t pas. C’ es
t probablem
ent quelqu’un
qui se croit meilleur
que les autres, quelqu’
un qui croit tout savoir. Pa
rmi ces gens-là, tu trouveras
peut-être des hommes de bie
n, mais songe que c’est précis
ément au nom de ce bien qu’ils
attirent bien des calamités su
r le pauvre monde, car ils se pos
ent en juge et se mêlent toujours
de ce qui ne les regarde pas. Méf
ie-toi particulièrement de ceux
qui boivent en faisant attention
de ne jamais se saouler; la plupa
rt du temps, ils agissent ainsi pa
rce qu’ils redoutent de libérer ce
qu’ils gardent en leur cœur.Ce p
eut-être la lâcheté, la bêtise, la m
échanceté ou la violence. Quoi qu’
il en soit, il n’est pas bon d’accor
der sa confiance à un homme qui
se craint lui-même.Mais parfois
fils, parfois, tu pourras faire conf
iance à celui qui s’agenouille deva
nt une cuvette de wc. Il y a une ch
ance pour qu’il prenne là une bon
ne leçon d’humilité, une chance qu
’ il comprenne la vanité de sa condi
tion et qu’ il apprenne à vivre en se
supportant. Car vois-tu il n’est pas
facile de se prendre au sérieux qu
and on est en train de cracher tripes
et boyaux dans une vieille cuvette de
wc toute sale. Et surtout prends bien
garde de ne jamais faire confiance à
un ivrogne à moins de le trouver dans cette posture..."James Crumley.

vendredi 17 novembre 2006

mercredi 15 novembre 2006


le chien
l'hydre à une tête et aux dents longues, le ver du bas de soie...a complété son exercice de ponction-succion-aspiration...et nous laisse exangue...
une chose est sûr c'est qu'il reviendra, et on ne lui dit pas bercy...

avec l'aimable autorisation (courtesy appears) de Guigui "BX Pallas" http://guijhome.blogg.org/

mardi 14 novembre 2006

le chat
a fait un rêve pour milochka



Résolution maxi 5760 x 1440 ppp.
Dotées de deux interfaces USB2 et FireWire.
Impression sans marge jusqu'au format A4.
Dotée de nouvelles couleurs, cette imprimante ultra-rapide à 8 cartouches séparées produit des gouttes d'une taille de 1,5 picolitres !

Mazette.

NDLR :
-attention aux torticcolis...
-références de la bestiole sur demande

Note du chat :
ce qui est vague est étendu...

Mazel tov.

lundi 13 novembre 2006

bein ma co[ue]nne...
tout est bon dans le cochon,

y'a plus qu'a découper,
en suivant les pointilleuses...

vendredi 10 novembre 2006

lundi 6 novembre 2006

le chien
aime bien les vieux pour leur sagesse.

celui la par exemple :


Avec se tete de coyote musqué, il s'agite désespéremment à 60 ans (environ) et disparait à 80 (environ) en tombant ivre mort d'un buggy (une petite carriole), alors que la version officielle prétend qu'il s'agissait d'une pneumonie.

Devenu légendaire, ce petit vieux accroupi a pu éffumer, pour qu'on le voit haut et loin, à ses ouailles en goguette, et par son infinie sagesse et insatiable esprit de liberté :

"Pousse et va de l'avant; pousse et va de l'avant. Aime ce que tu trouveras et envoie un coup de pied dans ce que tu ne pourras aimer"

speciale ded à krav-sacha

le chat
du lundi au...lundi, à la tête enduite de post-it mentaux, papillons jaunes, véneneux, chargés de remembrances et d'importants, qui ont tendances à s'agglomérer en grappes afin de dissimuler l'essentiel...ou se tordre en cornets poussiereux avant de disparaitre sous les tapis...

quelles saloperies!!! les aliens auto-collants resistent à toute heure du jour et de la nuit, marée jaune de "fais pas ci fais pas ça", "à toi-à moi", "oublie pas si tu peux", "numero blaireau", "numero bingo", "ne pas reporter cette décision déja reportée"....ils n'en finissent plus d'encrasser les filtres de l'existence, reduire la prise d'air, essouffler le cortex...à moins que ce ne soit la vache folle qui pointe ses naseaux.

Alors que le chien dispersé ne pense qu'a glandouiller, et/ou fuguer à la moindre occasion, lui, il turbine de la cafetière 24 sur 24 ...il n'a plus un seul temps de neurone disponible, c'est le crack boursier sur l'industrie du divertissement...en même temps ça tombe bien la pompe à finance racle le fond de la cuve et, coté spurtsss, les reserves accumulées par l'été sont déja attaquées. qu'est ce que cela sera dans 6 mois?

Les alternatives proposées par le chien, pour compenser, sont comme toujours assez simples : dormir ou...ne pas dormir du tout. A ce stade l'hibernation devient une evidence. Pourtant la fée electricité refuse de s'arreter...sauf des fois...et tout paralyser. les maudits post it, eux, continuent obstinement de ne pas vouloir s'auto consummer...

ok, pour l'instant, meme sur la corde, ça passe...mais tout le jour ouvrable il y a la mine et son gouffre à temps, pas de soleil avant des lustres... le filon continue de s' élargir bien sur...mais cela en fait des wagonnets à remonter et pourquoi? pourquoi ne pas se consacrer entièrement à la recherche de Kolybame...pour le moment, cette mine commerce avec le vent, c'est plus leger à porter malgrés de drôles de relents (léchouille à Becky et Michmuche).

et le ...riiiic dans tout ça? c'est quand meme pas etre une pute que de se faire payer pour servir d'accroche post-it...c'est juste le minimum avant la putefaction. apres chacun son tarif.

quand à chercher sans cesse le sens de l'une de nos 7 vies, pas la peine...il tient tout entier sur un petit rectangle jaune...comment vous éppellez Paris deja?

ou est le giga ventilateur qui va souffler sur tout ça?


c'est l'automne...

jeudi 2 novembre 2006


le chien
informe ses congénéres

du danger de se soulager contre un arbre...

"mercredi 1 novembre 2006, 12h11

AMSTERDAM (Reuters) - Les vents violents qui ont soufflé mercredi matin sur Amsterdam ont déraciné l'arbre contre lequel un homme était en train d'uriner et ont projeté l'imp[r]udent piéton dans un canal à proximité.
Il a réussi à sortir tout seul du canal, a précisé la police néerlandaise.
L'homme a été conduit à l'hôpital pour des examens, puis a pu rentrer chez lui ."

un chien, au moins, ne serait pas sorti du canal la bite à l'air....

lou tems passo, passo lou ben...


mercredi 1 novembre 2006


jour [de la bête]...tranquille.
trop?