jeudi 26 octobre 2006

qui veut l'avoir...le prend.


clic droit. enregistrer sous.

mardi 24 octobre 2006

parce que...
c'était elle

parce que...
c'était moi

bye-bye mon amour...

samedi 21 octobre 2006

le chien
Dingo est un chaud lapin et il a un sérieux penchant pour les dives souris...

franchement il n'y a pas de quoi fouetter un chat...

vendredi 20 octobre 2006

le chat
pousse un help! :
qui peut lui dire comment faire remonter le putain de profil du chien, et tout son toutim, en haut de cette putain de page?
il ne sait pas comment faire et il ne communique plus, depuis longtemps, avec sa mentoresse blog....

c'est aussi ça l'enfer...

l'enfer
cela doit être, à l'heure de l'implaccable jugement dernier, l'ouverture du grand livre des comptes, l'analyse final du bilan passif-passif, la mise en colonnes réglées de tous nos faits et gestes :

- 39 wagons de poils perdus
- 22333333€ de location de niche
-855 kgs d'herbe à chat
- 50 kms de crottes
-1 tonne de terre fouissée
-0,84 empire state building de haut en boites de patés
-7598 coïts dont 879 foireux dont 528 collés
-3 amours chiennes
-43 colonies de puces
-55732 litres d'eau lappés
-85476325481145566322 decibels cumulés d'aboiements dont 58963214587455 complétements futils
-99521 levage de pattes dont 49875 de patte droite
- 58 morsures dont 13 enfants et 37 vieux & vieilles, reste 1 seul facteur et 2 plombiers + divers
-8 dents de perdus
- 1 oeil (sur la fin)
- 18966542217855114 trous du culs reniflés dont 113791546248961 trous du cul femelles
- to be continued
....

terrifiant est le solde salé-sucré à la cloture de notre exercice....
si chaud en souvenir, malgré nous, si froid en avenir, malgré tout....

....

AVERTISSEMENT
ces chiffres sont fictifs, toutes ressemblance à la comptabilité définitive d'une bête existante ou ayant existé serait purement fortuite et involontaire...

ces chiffres ne sont pas exhaustifs...

ignorons les chiffres!

jeudi 19 octobre 2006

gustavo
le bulldog, etait un gourmand, et aujourd'hui il se fait péter le ventre à la pizza...

forza pizza!

mardi 17 octobre 2006

Le cri du chat
le chien
y'en a marre. c'est vrai qu'ils dorment dans le même panier en ce moment lui et le chat....pour se tenir chaud? pas vraiment...d'abord il est a qui ce panier? plus personne ne le sait.

il est temps de détendre l'atmosphère....pour une fois le chien donne un amical coup de patte au chat et pas uniquement parce que ses yeux clignotent.

il vaut mieux l'entendre crier que miauler. foi de chien. hin hin.
radio greffiers maestro.

Le cri du chat

les chiens
n'ont pas de mémoire car l'important n'est pas la dernière gamelle mais la suivante....

le chat
"qui dérouille?"

le chien
"le chat? il déraille et il dérouille aujourd'hui..."


6 mois-no sont sur le carreau.

lundi 16 octobre 2006

le chat
fait des caucheMars de poisson domestique.

délivré de son bocal de larmes, minuscule alevin englouti par l'onde aquatique, il s'accroche à la surface comme l'encre sur le recif, unique repère entre le fond et la lumière.
emminement chaviré, il néglige le perpetuel ressac...et la gîte, brulant de transpercer la membrane dilatée de l'horizon scintillant... la haut, à l'infini, le sunfloor envoie sa boule aux 100 000 facettes, et les bulles d'air evaporées par le vent, qu'il gobe après tout, lui fondent le sucre des rives de Kolybame...

ivre de profondeurs, gonflé de certitudes, il plonge au raz du sable pour prendre son élan...quand soudain la masse alentour se voile de tremblements...et retentie d'un echo mat. la vitrification. de tous les points cardinaux se dressent, puis se figent, les murs d'eau lourde et leurs reflets pelagiques....les écailles en alerte, la panique le submerge à présent, l'insondable sortilège de son existence se referme inexorablement....

reste le halo....dans les abysses, de sa memoire génétique, il trouve des ancêtres, aujourd'hui poilus, qui pour survivre la haut, se laissèrent pousser des membres...il entame sa gestation vitesse grand V, douloureuse remontée fantastique, harrassante, trop lente évidemment, une éternité...quand l'enceinte vitride achevée...il lui manque encore un peu de bras....et puis un peu de jambes, et puis des fleurs, un costard noir et un cv...et puis surtout...surtout...là...il lui manque...un petit escabeau.


exploration rationnelle des fonds sous-marins : le contact (2006)


accccccroche toi au pinceau j'enleve l'echelle

pardon à P.Ramette pour les libertés prises avec son oeuvre

mercredi 11 octobre 2006

le chien
il est possible de prendre l'air à l'intérieur...


dans ce particulier jardin un arbre de rien du tout rythme les saisons, un banc public opportuniste, granuleusement immaculé, ne craint pas les intempéries, et 5 personages de tous ages, et des 2 sexes, se rencontrent, se bavardent, se puzzlent...à la parigote...puisqu'au début tout le monde se dit "vous" et personne, ou presque, ne peut se blairer...
dans ce particulier jardin, habité par la ville, nous sommes comme des moineaux pepayants qui soudain s'interrompent pour observer nos bienfaiteurs, mi curieux-mi effarés, et leurs gesticulations aléatoires. sous nos yeux fixes et attentifs les minis victoires et les minis déroutes se trament au jour après jour pour finir par tisser les vies.
malgré une petite tendance BOBONAP, l'objectif est atteint. sous l'arbre de rien du tout, des situations simples, empruntées à l'air du temps, s'équilibrent entre l'oeil féminin de l'auteur et la mise en scène socio-mâle. les tranches d'interactions se découpent finements, par effleurance, sous l'apriori douceur des après midi du square...
distribué astucieusement, avec des vrais larmes pas chiantes dedans, multigénérationnel, multi CSP, multi sexe (a noter pas d'homo, pour une fois il n'y en a pas...ou alors pas déclaré), mais pas pluri ethnique...dans cette foire (d'empoigne?) à l'urbanité 2006, ce miroir aux volatiles...on ne sait plus très rapidement qui contemple qui. les mots sont justes et coulent de source, les attitudes subtiles et déconcertantes de naturel, les coméchiens tous excellents...
dans ce particulier jardin, zoo végétal et sociétal, petit écrin de torpeur dans le speed, pas donneur de leçon pour une seringue, on y voit passer ni le temps, ni les motos crottes...mais juste nos ombres mortelles.

mention spécial à M. GIBON, qui, ce recidiviste, nous donne furieusement envie de sauter sur scène et d'aller le gifler, pour effacer, sans être sure d'y parvenir, son petit sourire placide d'enflure...bravo.

lundi 9 octobre 2006

le chat
la fée clochette est fatiguée...

dimanche 8 octobre 2006

CCChhhhhhhhuuuuuuuuuttttttttttttt........

jeudi 5 octobre 2006

ce mec est ouf...


le chat & le chien
les nuits blanches? rien que le titre ils en peuvent plus...

dimanche 1 octobre 2006

le chien
remarque que certains mots de la langue pendante présentent un singulier destin. par exemple le mot "vergogne". d'abord il est moche, pas beau à voir, pas beau à entendre. que signifie t'il? est ce un animal issu de l'improbable croisement d'un lombric et d'une cigogne? nenni. ce mot ancien, peu usité, surrané et poussiéreux , (1080-; lat verecundia) en quasi voie de disparition donc, resiste néanmoins et survie mystérieusement à la lisière de son cerveau canin...il entre par la truffe, inhalé, subodoré...comme s'il flottait dans l'air, imbibait l'époque à la façon d'une fumée grasse d'un tas de vieux pneus enflammés.
en aboyé ancien vergogne signifie "honte". très catho...et dur a placer. ex : zyva quetch vergogne, tema comment islaz petent graaave les condés.....
en novlangue vergogne s'est trouvé un pote ou plutot est pris en otage, suivi comme son ombre, par la négationiste préposition "sans" pour locutionner des actes, des comportements sans pudeur et/ou sans scrupules. ex : mes homeboys et oim on a marave graaaave sans vergogne un crs à terre...

c'est vraiment pas joli joli. ce vilain petit canard de mot, salement connoté dès le départ, expression de nos plus vils pensées et actions mais, alléluïa..., légérement repentatoire...se voit en grandissant phagocyté, lesté, par un "sans" de mauvais aloi qui lui fait boire l'opprobe jusqu'a la lie : les bornes de la honte sont pulvérisées et tout le monde s'en goinfre à tire larigau.

quand l'autre soir de fugue avec quelques doggys, le doberman à l'entrée de l'abreuvoir minable a craché sans vergogne "vous deux ok mais lui non..." que le "lui" en question tire plus sur le lévrier afghan que le dog français...que cet enfoiré de dob selectionne et baisse son froc après que les montrages de crocs et de pattes blanches aient finalement aboutis dans la place...cela n'aurait pas été une vergogne que de le bouffer ce connard et de se barrer...
l'emmerde c'est qu'au bout du compte, de la vergogne, comme la soupe dans la gamelle, on ne sait plus s'il y en a trop ou pas assez...

pendant ce temps là les vers se terrent...de peur d'être bouffés par les cigognes.

quand à la pluie elle va bientôt tomber sans vergogne...la salope.

le chat
felicite "Astuce" qui, par hasard et pas rasé, s'est retrouvé en pleine gran'messe des petophiles...élu chouchou du public et propulsé dans les sphères locales de la notoriété et du marché de l'acier puisque qu'il entre en possession de 2 belles coupes et d'une médaille....et de 20kgs de granule qu'il ne s'est pas fait chier à porter.

a notre tour de le mirer...fier sur son petit banc.

en plus c'est pas la modestie qui l'étouffe...
mais il le mérite
Gros bisous à C "pissette-pissouille" A....non H....A...putain je vais avoir du mal à m'y faire....
in memoriam Tof-Tof.


le chien
entend des voix...
"-toi et moi contre le reste du monde...
-sur tes épaules...moi moins ronde...et toi et moi on vagabonde...sur la terre si féconde..."